Estelle Faye

Sur une idée lumineuse d’Estelle Faye et Floriane Soulas, 10 autrices francophones, dont les deux anthologistes, se sont réunies pour nous offrir un recueil de nouvelles horrifiques, du gothique à la science-fiction en passant par la réécriture de conte et l’horreur bien réelle. Dix voix d’autrices qui ont envie d’écrire de l’horreur et d’assumer de le faire et de redonner un peu de visibilité à ce genre oublié en francophonie par les éditeurs. C’est sorti début mai aux éditions Goater sous la superbe couverture d’Anouck Faure et ça s’intitule Nous parlons depuis les ténèbres. Voici ce que j’en ai pensé…

En juin 2022, les éditions Gulf Stream publiaient un thriller fantastique, Hollywood monsters, dans leur collection Echos à destination des 13 ans et plus. Écrit à quatre mains par Estelle Faye et Fabien Legeron, ce roman nous emmène dans le Hollywood des années 30 sur le tournage d’un film horrifique. Voici ce que j’en ai pensé…

Profitant du Winter short stories of SFFF, j’ai eu envie d’aller jeter un oeil dans ma pile à lire numérique  qui avait bien gonflé pendant le confinement et vers laquelle j’oublie souvent de porter mon regard. J’ai ainsi décidé de m’atteler à l’Anthologie du confinement des Imaginales qui regroupe 11 nouvelles parues dans les anthologies du festival, publiées chez Mnémos, de 2009 à 2019. Parmi ces textes, certains étaient des relectures mais beaucoup étaient des découvertes et le festival, ainsi que la maison d’édition, avaient décidé de nous gâter dans une période difficile. Comme en ce moment c’est aussi un peu la cata, c’est un bon moment pour m’y plonger…

Sous la direction de Stéphanie Nicot, l’anthologie des Imaginales 2021 intitulée Frontières regroupe 14 nouvelles d’autrices et auteurs francophones de l’imaginaire et est publiée aux éditions Mnémos. Acheté comme souvenir lors du festival si particulier de cette année, j’ai décidé de profiter du Winter short stories of SFFF pour la lire à raison d’une nouvelle par jour en décembre. Et voici ce que j’en ai pensé…

Le 29 septembre, les éditions Albin Michel Imaginaire publient le nouveau roman d’Estelle Faye, Widjigo, un roman fantastique se déroulant à Terre-Neuve au XVIIIème siècle. Définitivement conquise par la plume de l’autrice qui sait créer des ambiances très immersives, j’attendais cette échappée dans le genre horrifique avec impatience. Et voici ce que j’en ai pensé…

En janvier, les éditions ActuSF publiaient un nouveau roman d’Estelle Faye intitulé Un reflet de lune. Histoire annoncée indépendante mais se déroulant dans le même univers qu’Un éclat de givre (paru chez Les moutons électriques puis chez FolioSF) que j’avais adoré, Un reflet de lune nous fait retrouver l’inoubliable Chet dans un objet-livre magnifique de la collection collector de la maison d’édition. Et voici ce que j’en ai pensé…

Publié sous la direction de Aline Aurias, Roland Lehoucq, Daniel Suchet & Jérôme Vincent, l’anthologie No(s) futur(s) contient dix articles de vulgarisation scientifique et dix textes de fiction qui se couplent deux par deux autour d’un des Objectifs de Développement Durable du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat). Publié par les éditions ActuSF cet été, il s’agit d’un recueil que j’attendais avec beaucoup d’impatience. Voici ce que j’en ai pensé…

Chaque année, le festival des Imaginales d’Epinal publie chez Mnémos une anthologie de nouvelles d’auteurs de SFFF francophones réunis par Stéphanie Nicot, directrice du festival. Pour 2019, le recueil s’oriente autour de la thématiques Natures et réunit 16 auteurs pour 15 textes sur la nature sauvage, celle des hommes et l’ailleurs et demain. Et voici ce que j’en ai pensé…

En 2014, Estelle Faye publiait son second roman intitulé Un éclat de givre chez les éditions Les moutons électriques dans leur collection La bibliothèque voltaïque. Un roman qui me faisait de l’oeil pour les belles critiques qu’il avait reçu mais aussi pour l’objet-livre hard-back magnifiquement illustré par Aurélien Police. Alors forcément, faible que je suis, j’ai craqué dessus aux Imaginales quand je l’ai eu devant moi et voici ce que j’en ai pensé…