Drame

A l’occasion de la rentrée littéraire, Sébastien Spitzer a publié son premier roman aux éditions de l’Observatoire. Basé sur des faits réels à la fin de la Seconde Guerre Mondiale et mettant en scène de nombreuses figures historiques, Ces rêves qu’on piétine semble connaître un succès unanime auprès de la critique. J’ai eu la chance de le recevoir via l’opération Masse Critique Babelio, et voici ce que j’en ai pensé. 

Récompensé du prix Pulitzer, le dernier roman de Colson Whitehead, qui connaît un franc succès critique, est également sélectionné pour le prix Femina et le prix JDD/France Inter. Il s’agit de Underground Railroad, paru en 2016 aux Etats-Unis et titre de la rentrée littéraire 2017 pour les éditions Albin Michel dans la collection Terres d’Amérique. Un roman qui parle de la période sombre de l’esclavage aux Etats-Unis et qui matérialise le chemin de fer souterrain aidant les esclaves à s’évader vers le nord et une inaccessible liberté. Voici ce que j’en ai pensé…

Paru pour la première fois au Japon en 1980, Pika no Hiroshima est un livre illustré reprenant le témoignage d’une survivante de la bombe atomique, écrit et illustré de peintures par Toshiko Maruki, prix international de la paix et de la culture en 1952. Il fut publié en 1984 chez Syros sous le titre Pika, l’éclair d’Hiroshima puis en 2005 chez Actes sud junior dans la collection Grands livres. C’est l’album illustré que j’ai choisi de vous présenter ce mois-ci…

Publié pour la première fois en 2016, A l’ombre du baron est le premier roman de Fabienne Josaphat. Il a été traduit en français pour les éditions Calmann Lévy en 2017 et publié dans la collection Robert Pépin présente… L’autrice, originaire d’Haïti a décidé de placer son intrigue sur son île dans les années 60, sous le règne tyrannique de François Duvalier, alias « Papa Doc » ou « Baron Samedi ». C’est suite à l’avis enthousiaste de Ju lit les mots que j’ai découvert ce livre…

C’est suite à la vidéo d’Audrey du Souffle des mots que j’ai eu une envie terrible de lire Appuyez sur étoile de Sabrina Bensalah, publié aux éditions Sarbacane récemment dans la collection Exprim’. Il s’agit d’un livre jeunesse donc, conseillé dès 13 ans, évoquant le sujet du deuil à travers l’histoire d’Avril et de sa mémé, et voici ce que j’en ai pensé…

Premier tome de la trilogie Aksel Vinding, La société des jeunes pianistes est paru en 2007 chez JC Lattès puis en poche cette année dans la collection Le Livre de Poche. Lauréat du pris des lecteurs 2008, ce roman aux accents musicaux est signé par Ketil Bjørnstad, auteur mais aussi musicien et compositeur renommé. Il s’agissait du livre de mai pour la box livresque Exploratology que j’ai remporté au concours de Sandy du blog Je ne sait point lire (et si tu passes pas ici, merci encore!).

C’est en fin d’année 2016 que j’ai enfin découvert Maud Mayeras, jeune auteur de thrillers française qui m’avait épaté avec son style dans son premier roman Hématome. En 2013, elle publiait son second roman chez les éditions Anne Carrière, intitulé Reflex. Il paraît en poche chez Pocket en 2015 et c’est dans cette édition que j’ai eu le plaisir de replonger dans le style de Maud Mayeras…

Et voilà… cette relecture de la série Harry Potter en VO, débutée le 17 novembre dernier, à raison d’un chapitre par jour, s’achève aujourd’hui. Je viens de terminer la lecture du septième et dernier tome, Harry Potter and the Deathly Hallows, publié pour la première fois il y a 10 ans chez Bloomsbury et en français chez Gallimard. Ce livre a été adapté à l’écran en deux films, en 2010 et 2011 sous la direction du même réalisateur que ces deux prédécesseurs. L’aventure s’achève ici, it all ends here… suivez-moi à Poudlard une dernière fois!

Julia M. Tean, jeune auteure alsacienne plutôt orientée vers le genre fantastique, a publié un texte très contemporain et profondément réaliste à l’automne 2016. Ce court roman s’intitule Résilience: origines d’un parricide et il est publié chez Rebelle éditions dans la Collection Sans Visage. 

[Sachez enfin que pour chaque achat de ce livre, 1€ est reversé à l’association Le Refuge, luttant contre l’homophobie.]

Basée sur le récit d’Apollo, rédigée par Christophe Cassiau-Haurie et mise en lumière par les illustrations de Barly Baruti, la bande dessinée Madame Livingstone a été publiée en 2014 chez Glénat. Il s’agit d’un récit né d’un désir de recherche d’origine et d’une volonté de raconter un épisode de la Première Guerre Mondiale au Congo, zone souvent oubliée des livres d’histoire consacrés à la Grande Guerre.