Ces sorties littéraires qui me donnent envie - Juin 2025
L'été approche avec sa petit accalmie de sortie avant la rentrée. Voici donc un tout petit repérage (tant mieux pour ma PAL) en juin avant la pause de juillet avec 4 titres seulement dont deux que j'ai déjà lu par le passé mais dont je vous signaler juste la nouvelle édition.
Pour rappel, ces livres ne seront pas forcément des achats, mais ce sont ceux qui m'ont attiré plus particulièrement dans la multitude des sorties. Je ne donne pas le résumé de l'éditeur pour ceux qui ne souhaitent pas les lire, mais le site de l'éditeur (ou de site de vente si le titre n'est pas encore indiqué chez l'éditeur) est accessible en cliquant sur les titres si vous souhaitez avoir ce résumé. N’hésitez pas à me dire en commentaires s'il y a des sorties que j’ai relevé que vous avez vous aussi noté et quel(s) livre(s) vous attendez avec impatience.
Memoria, recueil de nouvelles 5 auteurs et autrices compilées par Frédéric Weil, Mnémos, Naos, couverture de Scott Uminga (128 pages, 12€, 4 juin)
Bien que je ne sois pas toujours une friande de nouvelles, j’avoue que l’idée de éditions Mnémos ici me plaît beaucoup. En effet, pour fêter leur anniversaire, les équipes de chez Mnémos ont organisé des concours pour publier les nouvelles de primo-auteurices. Memoria nous présente donc 5 nouvelles plumes de l’imaginaire pour la première fois. Et c’est la curiosité de les découvrir qui me fait noter cette sortie.
Maudit soit le printemps de Céline Chevet, Mnémos, Naos, couverture de Cyrielle Foucher (304 pages, 20.50€, 4 juin)
Pour celui-ci, c’est surtout pour vous le signaler. Je l’ai en effet déjà lu lorsqu’il fut publié sous le titre La fille qui tressait les nuages aux éditions du Chat Noir et j’avais été très agréablement surprise par ce récit mêlant merveilleusement le fantastique, l’adolescence, le Japon et une ambiance poétique mais également sombre. Un curieux mix très original et qui fonctionne formidablement bien. Je suis ravie que ce roman redevienne disponible !
Se méfier de l’eau qui dort de Julia Richard, L’Homme sans Nom, couverture de Xavier Pavion (256 pages, 21.90€, 4 juin)
D’abord, arrêtons-nous 2 secondes sur la beauté de l’objet ! Il était évident pour moi de me noter le nouveau Julia Richard qui, de roman en roman, s’installe de plus en plus comme une valeur sûre. Après le jubilatoire et sanglant Carne, le dérangeant et dénonciateur Paternoster, la voici pour un nouveau titre chez HSN avec cette fois du YA historique et fantastique plein de sororité. J’ai très hâte de me plonger dans ces eaux.
Des milliards de tapis de cheveux d’Andreas Eschbach, traduction de Claire Duval, L’Atalante, Neptune, couverture de Førtifem (352 pages, 8.50€, 5 juin)
Quel plaisir de découvrir une nouvelle édition aussi belle de ce désormais grand classique de la SF. Des milliards de tapis de cheveux est une œuvre majeure qui mérite pleinement les critiques très positives reçues. C’est un roman impressionnant par sa construction narrative et passionnant par ses réflexions et son univers. L’assemblage de divers fils d’histoires pour former une grande fresque est vraiment remarquable. Foncez le découvrir.
Et vous, quelle(s) sortie(s) avez-vous repérée(s)?
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