Ces sorties qui me donnent envie - Février 2018

Le mois de février arrive à grand pas, et avec lui, tout un lot de sorties littéraires qui m’attirent. J’ai décidé, pour la première fois, de vous présenter en quelques mots les livres qui ont retenu mon attention dans le programme des publications du mois prochain.

Ce ne seront pas forcément des achats, pas forcément non plus des titres que je lirai un jour, mais ce sont ceux qui, dans la multitude ont accroché mon âme de lectrice passionnée. J’ai décidé de ne pas vous donner le résumé de l’éditeur, parce que certains ne veulent pas les lire, mais de donner les éléments qui ont retenu mon attention. Et puis, en cliquant sur le titre, vous tomberez sur le site de l’éditeur si vous souhaitez le résumé. Je n’ai pas non plus cité les livres reçus en Service Presse, parce que leur critique arrive bientôt.

N’hésitez pas à me dire en commentaires si ce genre d’articles vous intéresse, si il y a des sorties que j’ai relevé que vous avez vous aussi noté, et si il y a un livre que vous attendez avec une impatience démesurée pour février. Allez hop, on commence (et je me dédouane de toute responsabilité envers votre banquier si, suite à cet article, vous avez des envies d'achats compulsifs). 

Ma vie avec Contumace de Jean-Pierre Brouillaud chez Buchet Chastel (208p. - 15€ - 1er février)

Avec la promesse d’une histoire humoristique, un brin loufoque, cette épopée d’un « héros d’appartement » qui vit reclus avec son poisson rouge Contumace, son seul véritable lien social, promet un moment bourré de bonne humeur et d’originalité. Et rien que pour sa couverture, on ne peut qu’être intrigué par ce roman. 


 

Gingo de Sarah Cohen-Scali chez Gulfstream, collection Electrogène (360p. - 17,50€ - 1er février)

J’aime beaucoup la collection Electrogène qui ose publier des textes puissants de SF, et celui-ci m’attire pour les questionnements qu’il pose sur ce qui fait l’humanité, parce qu’il suggère le soulèvement d’un peuple face à une oppression, parce qu’il parle de l’amour d’une mère au-delà du sang. Et aussi parce que j’ai envie de me réconcilier avec Sarah Cohen-Scali.


 

La punition de Tahar Ben Jelloun chez Gallimard, collection Blanche (160p. - 16€ - 1er février)

Evoquant le sujet grave de la détention de 94 étudiants en 1965 au Maroc pour avoir manifesté pacifiquement dans les rues, La punition a l’air d’être un récit fort, violent, intense mais essentiel. L’histoire est réelle, et ne doit pas être facile à lire, mais c’est un fait que je ne connaissais pas et pour lequel mon intérêt s’est éveillé avec cette parution. 


 

Le chaudron brisé de Nathalie Dau chez Les moutons électriques (160p. - 15€ - 2 février)

Pourquoi ce livre? Parce que c’est un ouvrage sublime (avec la couverture majestueuse de Melchior Ascaride), parce que ça parle de légendes celtes, parce que ça transcende les époques et que ça a l’air terriblement envoûtant. Evoquant une histoire de malédiction et de démons qui poursuivent les héritiers d’une quête mystique à travers les âges, ce roman m’attire irrémédiablement. 


 

Les chroniques de St Mary’s. Tome 1: Un monde après l’autre de Jodi Taylor chez HC éditions (352p. -14,50€ - 8 février)

Il n’y a rien de plus alléchant pour moi qu’un roman qui met autant en avant le voyage dans le temps. Ce premier tome nous propose de découvrir l’institut St Mary où les historiens n’étudient pas le passé mais le visitent. Il ne m’en faut pas plus pour avoir déjà des étoiles dans les yeux! Alors quand on suggère en plus une intrigue à base de manigances secrètes, je suis définitivement conquise.


 

Confession d’un automate manger d’opium de Mathieu Gaborit et Fabrice Colin chez Bragelonne en version poche (420p. - 9,90€ - 14 février)

Ce livre avait déjà attiré mon regard à sa sortie grand format, mais j’avoue que mon porte-monnaie a plus tendance à être attiré par cette version poche. Proposant une intrigue policière dans l’univers steampunk du Paris de 1889, à base d’automates et d’éther, je suis certaine d’y retrouver tout ce que j’aime. Bref, ça me donne très envie. Et quand on voit les prochains titres cités, aussi le 14 février et aussi chez Bragelonne/Milady, ça me fait déprimer de ne pas avoir été sélectionné pour un partenariat avec eux xD.


 

L’abbaye blanche (Enquêtes de Mathieu Gange #1) de Laurent Malot chez Bragelonne en version poche (480p. - 7€ - 14 février)

Un bon thriller plutôt classique en apparence mais qui m’a l’air haletant et hyper bien ficelé. J’aime l’idée de manipulation à grande échelle que le résumé suggère, et les questionnements du personnage principal sur le rôle de sa femme dans cette intrigue sanglante. 


 

Jusqu’à ce que la vérité nous sépare de Gillian Mcallister chez Milady (384p. - 19,50€ - 14 février)

Ce premier roman a l’air d’un thriller psychologique de dingue! Tous les ingrédients y sont: un couple fou amoureux et en apparence parfait, un sombre secret et des doutes sur la personnalité de l’un d’eux, d’autres vérités cachés dans les zones d’ombre… Bref ça me donne envie parce c’est tout ce que j’aime dans le thriller. 


 

Emma dans la nuit de Wendy Walker chez Sonatine (304p. - 21€ - 15 février)

Là encore, un thriller psychologique qui promet une intrigue de fou! Deux jeunes soeurs sont enlevés à l’adolescence, mais seule l’une reviendra, des années plus tard et raconte son histoire, expliquant que sa soeur est encore prisonnière. Mais avec un récit qui ne convainc pas tout le monde, de possibles secrets de famille, et beaucoup de mystères à élucider, forcément, le récit va prendre une tournure certainement inattendue. Et je suis déjà intriguée! 


 

Cabossé de Benoît Philippon en version poche chez Folio policier (336p. - 7,80€ - 15 février)

J’avais entendu tellement de bien de ce livre à sa sortie en grand format, que sa sortie poche ne pouvait pas me laisser indifférente. Ce roman a l’air à la fois brutal et poétique, lumineux et sombre et il est certain que mon chemin doit le croiser un jour!


 

Issa Elohim de Laurent Kloetzer chez Le Bélial’, collection Une Heure-Lumière (8,90€ - 22 février)

Pourquoi ce livre? Parce que cette collection est pleine de merveilles, parce qu’Aurélien Police a encore une fois réalisé un visuel à tomber par terre, parce que l’univers proposé à l’air démentiel et d’une immense richesse malgré le format court, et parce qu’à la lecture du résumé, j’étais déjà embarquée. 


 

Le dogue noir de Neil Gaiman chez Au diable Vauvert (88p. - 23€ - 22 février)

Parce que Neil Gaiman… tout simplement!

 

 

 

 

 

Comments

Oh j'avais complètement zappée d'aller sur le site des éditions Vauvert et Le Bélial !
Je note :p

Ravie de t'avoir rajouter des tentations ^^

Jusqu'à ce que la vérité nous sépare et emma dans la nuit me tente troooop

Oh oui ils ont l'air trop bons hein?!!

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