Historique

Publiée cette année aux éditions Dargaud, La bibliomule de Cordoue est une bande dessinée historique écrite par Wilfrid Lupano, illustrée par Léonard Chemineau et mise en couleurs par Christophe Bouchard. Se déroulant dans le Califat d’Al Andalus en 976, elle est le récit du plus grand autodafé de l’histoire et suit les péripéties d’un bibliothécaire, d’une copiste et d’un ancien apprenti voleur tentant la sauvegarde de quelques-uns de ces précieux ouvrages. Avec sa pluie de critiques positives, c’est une BD qui me faisait très envie et voici ce que j’en ai pensé…

Le 24 mars dernier, les éditions Le Bélial’ publiaient un nouveau titre inédit dans la collection Une Heure-Lumière: Le serpent de Claire North (pseudonyme de l’autrice Catherine Webb). Premier volume d’une trilogie de novella intitulée La maison des jeux, Le serpent est traduit par Michel Pagel et semble faire l’unanimité. Voici ce que j’en ai pensé…

Au tout début de cette année, les éditions La table ronde publiaient, dans la collection Quai Voltaire, un roman de Dexter Palmer, intitulé Mary Toft ou La reine des lapins. Traduit par Anne-Sylvie Homassel, ce roman au résumé étonnant se base sur un fait divers historique réel: celui de Mary Toft qui, en 1726, accoucha de lapins morts démembrés et bouleversa le monde médical. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour titiller ma curiosité. Voici donc ce que j’en ai pensé…

Le 2 février dernier, les éditions Drakoo ont publié une bande-dessinée one-shot, intitulée Le sarcophage des âmes dont le scénario est assuré par Serge Le Tendre, le dessin par Patrick Boutin-Gagné et la colorisation par Alessia Nocera. Histoire fantastique mêlant sorcellerie, occulte et relation mère-fille, Le sarcophage des âmes a retenu mon attention et voici ce que j’en ai pensé…

Les graciées, roman de Kiran Millwood Hargrave, faisait parti des livres qui avaient retenu mon attention à la rentrée littéraire 2020. Il était alors publié aux éditions Robert Laffont dans leur collection Pavillons. Le manque de temps m’avait cependant empêché de m’y plonger jusqu’à sa parution en livre audio cette année chez Lizzie, lu par Lila Tamazit. Et voici ce que j’en ai pensé…

Le 29 septembre, les éditions Albin Michel Imaginaire publient le nouveau roman d’Estelle Faye, Widjigo, un roman fantastique se déroulant à Terre-Neuve au XVIIIème siècle. Définitivement conquise par la plume de l’autrice qui sait créer des ambiances très immersives, j’attendais cette échappée dans le genre horrifique avec impatience. Et voici ce que j’en ai pensé…

S’il y a bien un prénom qui était sur toutes les lèvres à la rentrée littéraire 2020, c’était celui de Betty, l’héroïne du roman éponyme de Tiffany McDaniel publié aux éditions Gallmeister. Gros succès littéraire, c’est un titre qui me faisait envie à sa sortie mais que je n’avais pas encore eu l’occasion de découvrir. Heureusement qu’il existe les livres audio pour combler ses retards! Sorti en janvier 2021 chez Audiolib, lu par Audrey D’Hulstère, le livre audio Betty a donc atterri dans mes oreilles et voici ce que j’en ai pensé…

En fin d’année 2020, les éditions Delcourt publiait dans leur collection Mirages, une nouvelle bande dessinée écrite et illustrée par Gaëlle Geniller intitulée Le Jardin, Paris. Après avoir eu un franc coup de coeur pour la première oeuvre de l’autrice, Les fleurs de grand frère, il était évident pour moi de découvrir cette nouvelle bande dessinée dont j’entends en plus beaucoup de bien. Et voici ce que j’en ai pensé…

Paru en VO en 1979 sous le titre Kindred, puis traduit en français pas Nadine Gassié pour une parution chez Dapper en 2000, Liens de sang d’Octavia E. Butler a été republié en avril dernier chez les éditions Au diable Vauvert avec une traduction réactualisée par Jessica Shapiro. Je l’ai tout de suite repéré comme indispensable à l'annonce de se réédition et voici ce que j’en ai pensé…

En janvier, les éditions Dargaud ont publié la bande dessinée Blanc autour écrite par Wilfrid Lupano et illustrée par Stéphane Fert. Histoire vraie d’une école pour jeunes filles ayant ouvert ses portes aux femmes de couleurs en 1832, cette bande dessinée est le témoignage d’une époque, d’héroïnes et héros ordinaires et d’un combat à ses prémisses. La BD contient également une postface de Joanie DiMartino, conservatrice du musée Prudence Crandall. Voici ce que j’en ai pensé…